Le caractère A l’instar de son compagnon de cœur : le Vésuve, Lucia peut être d’un calme extraordinaire tout comme elle peut laisser exploser sa colère.  

Elle est d’un naturel patient, obstiné.

Elle a un sens de l’humour très prononcé.  

Elle peut être très enfantine, après tout elle a besoin de rattraper son retard.

Elle sait être inflexible, impartial, intransigeante et ferme.

Elle est douce, aimante et tendre.

Elle a un amour extrêmement fort pour les animaux.

C’est une négociatrice hors pair, elle est capable de faire passer un tapis en peau de fesse de putois pour un tapis persan d’une valeur inestimable.

Que pense votre personnage de la reconstruction de la ville ? Du pays ? A t-il aidé ?
Lucia est plus qu’heureuse de cette reconstruction, elle fait partie des bénéficiaires de cette reconstruction puisque son logement et sa boutique avaient été détruit dans tout ce bordel. Le bâtiment et les souvenirs en soit-ce n’était pas important mais sa marchandise … sa marchandise avait été détruite !!! Ses belles pierres précieuses et toutes ses créations, perdues.  
Pour ce qui est d’aider … Comment aider quand on n'a rien ? En faisant des lasagnes ! Et autres petits plats italiens.

Le nouveau maire fait parler de lui, qu'en pense votre personnage ?
Un homme qui use de ses pouvoirs pour arriver à ses fins ? Qui est accusé par certains d’être un des plus grands méchants de cette ville ?  
Mais c’est le Messi pour Lucia !!!! Elle est du côté obscur de la lois … Il y a des cookies parait-il.

Née à Naples dans la région de Campanie en Italie, Lucia est une mutante née. Elle est issue d’une famille mafieuse, son grand-père est le chef de tous les clans d’Italie.   
Lucia a été entraînée au combat depuis qu’elle est en âge de marcher et de tenir une arme. Elle maîtrisait les couteaux, les armes à feu et le combat rapproché.   
L’entraînement de la jeune femme dura pendant une quinzaine d’années, elle y apprit à se fondre dans la masse, à tuer sans scrupule, à oublier ses sentiments voir qu’elle est humaine. La brune devint une machine à tuer jusqu’à ce qu’un évènement ne change la donne.   

Peu après son quinzième anniversaire, ses pouvoirs se réveillèrent, cela fut aussi inattendu que soudain. Lucia était en mission d’infiltration, elle devait tuer un adversaire de son grand-père, elle devait entrer dans la villa de l’homme et lui ôter la vie. Elle s’était fait engager comme danseuse de charme, elle avait appris la danse durant son entraînement, elle pouvait danser beaucoup de danse, cela allait du flamenco au strip-tease. Là, c’est la deuxième option doublée de pole danse qu’elle devait appliquer.   
Elle avait rapidement ferré son poisson assez rapidement, c’est fou ce que les hommes étaient attirés par les demoiselles aux formes affriolantes. Elle avait dû lui offrir une danse privée à l’homme, ce dernier avait souhaité poursuivre un peu plus la danse et l’avait donc invité à poursuivre leur petite soirée chez lui. L’homme avait des penchants assez spéciaux et s'il était le chef d’un groupuscule mafieux, dans sa chambre, il préférait être attaché et dominé. Lucia profita qu’il soit attache pour lui ôter la vie. Elle eut juste le temps de laisser son message avec le sang de sa victime lorsqu’une alarme se déclencha.  
Les hommes de sa victime commencèrent à tenter de rentrer dans la chambre, mais pour Lucia la situation se compliqua lorsqu’elle remarqua qu’elle était prise au piège, elle ne pouvait pas passer par la porte et la fenêtre. La brune souhaita inconsciemment pouvoir devenir une souris, elle commença à paniquer lorsqu’elle sentit une forte douleur la prendre, elle eut la sensation de rapetisser et toute sa peau la picota. Lorsque le phénomène s’arrêta elle était au ras du sol et toute la pièce lui paraissait démesurée, elle ne comprit pas ce qui lui arrivait jusqu’à ce qu’elle tombe par hasard sur un miroir touchant le sol, le reflet ne montrait pas une jeune femme, mais une souris au pelage roux. Elle eut à peine le temps de constater qu’il s’agissait d’elle que les hommes défoncèrent la porte, elle se cacha sous le lit avant de trouver un trou pour pouvoir se faufiler dans les fondations de la villa et trouver un accès vers la sortie. Une fois à l’air libre elle tenta de reprendre forme humaine, mais cela se solda par un échec. Ce n’est que plusieurs heures plus tard et de nombreux essais infructueux qu’elle parvient à retrouver sa forme d’origine.  

La demoiselle subit un nouvel entraînement après cet exploit, ce dernier lui permis d’apprendre à apprivoiser ses pouvoirs. Elle devint un atout majeur pour la famille si bien qu’elle intégra l’élite du clan, les Vortigornes. Cette élite était là pour mettre fin à l’existence des ennemis du clan.
Elle prit la tête des Vortigorne avant de ressentir le besoin de changer d’air et de continent. Elle réussit à convaincre son grand-père qu’elle pourrait être utile ailleurs.  
Elle quitta donc l’Italie pour l’Amérique, elle s’installa à New-York, elle laissa de côté le combat pour se focaliser sur sa passion. Depuis qu’elle était petite Lucia adorait les bijoux, elle était secrètement devenue l’apprentie d’un joaillier, il lui avait appris son métier.  

La jeune femme ouvrit alors une boutique dans les petites rues de la grande pomme, le local ne payait pas de mine, mais elle avait ses clients et elle offrait également ses talents de faussaire. Elle était douée pour faire de faux papiers et c’était quelque chose qui était fortement intéressant pour certaines personnes de son milieu. Elle est depuis peu accompagnée d’un ara hyacinthe femelle du doux nom de Blue, en l’honneur d’un célèbre raptor.
L’Italienne se tient au courant des éventuelles rumeurs qui circulent dans la ville, elle se doit de se tenir un minimum au courant de ce qui se trame dans la grosse pomme. Après tout, elle est dans le guide “Les bons coins à connaître quand on est un truand”, si si le petit guide utile que l’on distribue aux nouveaux membres… Ou pas.

Actuellement, elle reprend doucement du service, après un an de fermeture. Sa boutique se trouvait dans les quartiers qui ont été détruits, elle a participé à la reconstruction du moins comme elle pouvait, se rabattant sur son travail de faussaire.